Mise à jour le 15-02-2005 par Jean-Louis CURET
| Date | Événement | |||||||||||||
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| 5 août 1769 | naissance | à La Seyne, d'André cap. de batiment et NÉGREL Françoise | ||||||||||||
| 7 sept 1799 | Etat de service | maître timonier à 66, quartier La Seyne, le 21 fructidor an 7 2e m tim à 60 sur l'altesse du 21 niv 6 au 30 prairial 7, jour que la dite frégate a été prise par les anglais
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| Dans le dossier COUTELLENQ Louis Antoine, sans date de naissance | ||||||||||||||
| 4 juin 1814 | au ministre | … Rentré en France après les premiers troubles révolutionnaires, il se trouva réduit à la plus affreuse misère soit par les pertes considérables qu'il avait faites, soit par le pillage de sa maison, soit enfin par les malheurs qui résultaient des nouvelles proscription de fructidor. Embarqué ensuite sur les batiments de l'Etat et tantôt commandant au petit cabotage, il a soutenu avec des faibles ressources sa femme et ses trois enfants. | ||||||||||||
| 3 août 1814 | Au ministre | Monseigneur, Louis Antoine Coutellenq, mitre au petit cabotage et pilote cotier au Service du Roi, a l'honneur de Vous exposer que pendant le siège de Toulon il était embarqué sur le vaisseau de S.M. le pompée en qualité d'aspirant de Marine qu'il y a servi le Roi avec zèle et activité et qu'a l'évacuation de Toulon, il reçu l'ordre de l'amiral anglais Hoost de prendre le commandement du brick du commerce Les trois frères appartenant a sa famille et sur le quel il arbora le pavillon blanc. Il fut destiné et employé pendant plusieurs mois au transport des émigrés français dans divers ports de L'Italie. Rentré en suite en France il trouva sa maison dévastée son mobilier perdu et ses biens dans un état de dépérissement total. Conséquence naturelle de l'attachement qu'il avait montré a son Roi. L'exposant sans emploi vient supplier Votre Excellence de vouloir bien lui accorder son brevet du capitaine au long cours. Il fonde sa démarche sur les services qu'il a rendu à S.M. et à sa famille 2° sur les pertes que l'évacuation et le siège de Toulon lui ont fait éprouvé perte devenu aujourd'huy irréparable 3e sur sa qualité de fils et petit fils de capitaine et 4e sur la position pénible d'un père malheureux chargé d'une famille composée de cinq individus. Ces considérations. Monseigneur préviendront sans doute Votre Excellence en faveur de l'exposant et il ose espérer que Vous daigneré lui accorder une demande fondée sur des motifs que votre justice ne peut pas repousser. Il a l'honneur d'être Monseigneur De Votre Excellence Le très humble et très haubeissant Serviteur. A Coutellenq a La Seyne 3 aoust 1814 | ||||||||||||
| 5 oct 1814 | déjà demandé inutilement une lettre de capitaine au long cours … chef de timonerie faisant fonction d'officier sur le bateau le Leyei et de là sur la canonnière l'Arquebuse de laquelle il ne débarqua qu'ensuite des ordres de son Excellence qui enjoignaient au préfet maritime de débarquer tous les officiers auxiliaires, aujourd'huy par décision ministérielle. Tout Officier de la marine qui désire naviguer au commerce obtient par cette décision sans difficulté ses lettres de Capitaine. Si ces officiers jouissent de cet avantage, pourquoi ceux qui ayant rempli les mêmes fonctions et fait le même service n'en jouiraient de pas, ceux qui ayant été licenciés sans avoir aucun traitement, n'ont d'autre ressource que celle du commerce. Les priver de commandement, n'est le pas leur otter tout moyen d'existence ? | |||||||||||||
| 31 oct 1814 | De La Seyne demande une lettre de capitaine au long cours Maître timonier âgé de 46 né (vers 1768) 239 mois de navigation, n'a pas subi d'examen renvoyé à l'examen | |||||||||||||
| 7 déc 1815 | même demande |